Retour sur quelques événements de cet été

Les JO de Londres :

Que retenir de ces jeux ? Les performances sportives magnifiques de certains athlètes, toujours émouvantes, mais qui se produisent à tous les jeux, avec leur lot de surprises, de joies et de déceptions.
Mais on a aussi envie d’en retenir deux femmes, deux visions opposées du monde.
D’un côté cette judoka saoudienne, accompagnée de son référent mâle, qui prétendait combattre voilée et qui finalement s’est présentée avec un grotesque bonnet de bain.

Coup de propagande réussi pour le wahabbisme, a-t-on dit ? Voire…

Certes il y avait plus de photographes et de presse que pour voir Teddy Riner combattre, mais au bout du compte, les journalistes n’ont pu que constater comment une Péruvienne, certes 13e mondiale, mais moins massive, a explosé la Saoudienne au bout d’une minute de combat par un magnifique Ippon. Ils se sont tout simplement couverts de ridicule…

On ne dira jamais assez à quel point l’islamisme est asservissement et répression du corps, y compris celui des mâles, incompatible avec la notion même de sport. A-t-on observé à quel point les délégations des pays musulmans étaient peu fournies ? Les résultats, n’en parlons pas, seul l’Iran réalise un score « honorable » de 12 médailles, (autant que la Jamaïque, mais avec une population 26 fois plus importante… ). Au Maroc, c’est la catastrophe… L’Indonésie, avec plus de 240 millions d’habitants fait moins bien que Trinité-et-Tobago, (moins d’1,5 millions d’habitants), etc etc

A côté de cela, la superbe Tunisienne Habiba Ghribi et sa médaille d’argent sur 3.000 m steeple. Un pied de nez à tous les barbus, ces crétins moyenâgeux qui invitent même des imams favorables à l’excision à prêcher en Tunisie.

Merci à vous d’exister Habiba, d’être belle, d’avoir couru dans une tenue qui convenait à cette activité, et surtout de ne pas être venue faire de la figuration. Ils en crèvent de rage les Ennahdas et autres apôtres de la servitude des femmes. Ces islamistes, pitoyables, en sont à demander la déchéance de sa nationalité parce qu’elle aurait « fait honte à la femme tunisienne ». Ils le demandent aussi pour l’autre médaillé tunisien, Oussama Mellouli vainqueur du marathon de natation, parce qu’il aurait bu un jus de fruit à l’issue de l’épreuve, (10 km en eau vive, tout de même !) en plein ramadan !

En revanche, nous ne savons pas si les athlètes musulmans ont apprécié les toilettes qui leur permettaient de faire des cacas islamiquement corrects. Si le sujet a été abordé à l’époque de la construction du stade d’athlétisme et révélé notamment par Docdory, il a été soigneusement évité par la suite…

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Le renvoi des animateurs de colonie de vacances qui observaient le ramadan.

Bien évidemment, les associations antiracistes ont réussi à faire peur et ont obligé le maire de Gennevillers à reculer. Mais ceci aura un retour de manivelle : un employeur, même a priori bienveillant vis à vis de la « diversité », hésitera de plus en plus à embaucher des musulmans par peur des problèmes que ceux-ci sont susceptibles de générer, que ce soit pour cause de ramadan ou pas.
Mais comme il est absolument exclu et discriminatoire qu’il interroge les candidats pour savoir s’ils sont musulmans pratiquants ou non, il est à craindre qu’un « tri » se fera au faciès : il écartera ceux dont la tête pourrait laisser supposer qu’ils pourraient être musulmans… Voilà tout ce qu’ils auront gagné. Et qui sera évidemment dénoncé à cors et à cris par les mêmes associations antiracistes.

Que les animateurs en question aient porté l’affaire en justice est intéressant et, comme pour Baby-Loup, pourrait être une erreur de leur part. Juridiquement ils sont peu défendables : un moniteur devant être disponible 24 h sur 24, il semble, surtout si le contrat de travail le stipulait, que se mettre volontairement en état de faiblesse physique, de sous-vigilance, constitue une faute. Si l’employeur licencie un salarié pour son alcoolisme, trouvera-t-on des associations pour défendre le droit de l’employé à l’être ? Nous verrons.

Signalons en revanche qu’il peut arriver, au contraire, de se faire agresser parce qu’on ne respecte pas le ramadan. En France, précisons-le…
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Une prise de conscience, au Maghreb, des conséquences du ramadan.

Des statistiques sur le dégâts de cette pratique imbécile commencent à être publiées régulièrement dans les pays musulmans, attendons la prochaine livraison.

Au passage, on notera, une fois de plus, un mensonge relatif à ce rite : le ramadan n’est nullement un « mois de jeûne », mais un mois entier où l’on jeûne le jour et où l’on s’empiffre la nuit, ce en quoi cette pratique se distingue radicalement du jeûne tel qu’il est observé dans d’autres religions…

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La reconnaissance de responsabilité de l’Etat français dans la rafle du Vel d’Hiv

De quelle responsabilité parle-t-on à la fin ?

Si l’on se réfère au droit, on distingue deux types de responsabilités : la responsabilité civile, qui est destinée à réparer les dommages que l’on a causés, qui est donc proportionnelle aux dégâts en question et oblige à réparation, presque toujours sous forme de dommages-intérêts, et la responsabilité pénale qui est proportionnelle à la gravité de la faute vis à vis de la société, et qui, elle, est punie d’amendes et d’emprisonnements (et de peine de mort dans certains Etats). A ma connaissance, il n’a jamais été question d’indemniser les victimes de la rafle du Vel d’hiv, on n’est donc pas du tout dans le cadre d’une responsabilité civile, mais bien dans quelque chose qui ressemblerait à de la responsabilité pénale.

Là se pose une question : comment une personne morale, c’est à dire non pas un individu mais une association, une société, une entité juridique abstraite, pourrait-elle avoir commis une faute pénale laquelle suppose la liberté, le libre-arbitre, qui ne peut être qu’un attribut individuel attaché à un être humain, une personne physique, et encore pas toutes, pas les irresponsables, les fous ou les enfants trop jeunes ? Seuls des humains, des fonctionnaires de l’époque, des politiques pourraient, à titre individuel, être tenus pour responsables dans la rafle, ce qui supposerait donc, pour chacun d’eux une évaluation de leur degré d’implication et de choix ; mais parler d’une responsabilité de l’Etat n’a a priori pas de sens.

Pourtant, la loi a créé en 1994, en France, une responsabilité pénale pour ces entités abstraites que l’on appelle des personnes morales.

C’est une aberration logique et philosophique mais qui correspondait à un besoin, celui d’épargner la responsabilité pénale (du fait de leur fonction, sui generis, comme on le dit) des dirigeants d’entreprises lorsque ceux-ci n’étaient pas impliquées directement dans une affaire criminelle ou délictueuse concernant l’entreprise.

Certes, l’entreprise ne peut pas aller en prison, mais il devenait possible de la condamner, outre à la réparation éventuelle de dégâts au titre de la responsabilité civile, à des amendes. La loi prévoit même à leur égard, la possibilité de la peine de mort, c’est-à dire sa dissolution !

Il reste toutefois une impossibilité ; il y a une exception absolue à la responsabilité pénale d’une personne morale : elle ne peut en aucune manière concerner l’Etat. En effet, la responsabilité ne peut s’exercer qu’envers autrui, or la responsabilité pénale est une responsabilité vis à vis de la société dont la seule expression juridique légitime est l’Etat lui-même. L’Etat ne peut pas être responsable vis à vis de lui-même, c’est un non-sens. Même les poursuites pénales internationales à travers des juridictions ad hoc, s’exercent vis à vis de personnes, de dirigeants politiques, jamais vis à vis d’Etats ou de régimes.

Alors, quel sens peut donc avoir la reconnaissance de la responsabilité de l’Etat français dans la rafle du Vel d’hiv ?

  • S’il s’agit de la reconnaissance de la réalité de l’implication du régime de Vichy, c’est l’affaire des historiens. Y avait-il besoin de cette nouvelle repentance ? Existait-il vis à vis de ces faits un « négationnisme » qui aurait pu justifier que l’on rétablisse cette vérité  ? Pas que je sache.
  • S’il s’agit de reconnaître une sorte de « responsabilité morale », cela n’a pas plus de sens que la responsabilité juridique pénale, seuls des individus peuvent avoir une morale.
  • Reste l’hypothèse que le chef de l’Etat, devant la résurgence d’un nouvel antisémitisme, ait voulu adresser aux juifs de France un message de vigilance de sa part sur cette question. Mais pourquoi aller chercher dans l’Histoire de la seconde guerre mondiale ? Ce sont les juifs de France d’aujourd’hui qui ont besoin de la protection éventuelle de l’Etat, pas ceux qui ont fait l’objet de la rafle du Vel d’hiv, pour lesquels personne ne peut plus rien.
Evidemment il y a un problème : il faudrait désigner l’origine de ce nouvel antisémitisme…

On va vous aider Monsieur Hollande : cet antisémitisme est musulman, et il ne date pas du conflit en Palestine. Il est inscrit dans les fondements-mêmes de cette religion, d’abord comme antijudaïsme, puis comme antisémitisme lorsque Muhammad et ses fidèles exterminent les juifs de Médine dans des conditions de violence tout à fait inédites pour l’époque, au cours de la décennie 620 – 630. D’abord hostilité à l’influence du judaïsme, c’est la présence-même des juifs, leur existence qui n’a plus été tolérée. Et comme Muhammad est le musulman parfait, celui dont il faut suivre l’exemple…

Cet antisémitisme perdure évidemment jusqu’à l’époque actuelle et s’il s’alimente du conflit israélo-palestinien, on voit bien d’où il tire ses sources, il suffit pour cela de lire cet article d’IDO.
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2 Commentaires
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D. Furtif
Administrateur
D. Furtif
4 septembre 2012 15 h 20 min

Rien à rajouter
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Merci à vous d’exister Habiba, d’être belle, d’avoir couru dans une tenue qui convenait à cette activité, et surtout de ne pas être venue faire de la figuration. Ils en crèvent de rage les Ennahdas et autres apôtres de la servitude des femmes

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Merci de faire enrager les ploucks tenants de la paix sociale et de charia modérée

ranta
ranta
8 septembre 2012 14 h 14 min

« Bien évidemment, les associations antiracistes ont réussi à faire peur et ont obligé le maire de Gennevillers à reculer. Mais ceci aura un retour de manivelle : un employeur, même a priori bienveillant vis à vis de la « diversité », hésitera de plus en plus à embaucher des musulmans par peur des problèmes que ceux-ci sont susceptibles de générer, que ce soit pour cause de ramadan ou pas.
Mais comme il est absolument exclu et discriminatoire qu’il interroge les candidats pour savoir s’ils sont musulmans pratiquants ou non, il est à craindre qu’un « tri » se fera au faciès : il écartera ceux dont la tête pourrait laisser supposer qu’ils pourraient être musulmans… Voilà tout ce qu’ils auront gagné. Et qui sera évidemment dénoncé à cors et à cris par les mêmes associations antiracistes. »

Faut bien qu’ils vivent et touchent les subventions ces pro de l’antiracisme. Plus ils fabriquent du raciste et du racisme et plus ils pérennisent leur fond de commerce.