Retour sur un emballement médiatique.
Lorsque cette affaire apparaît au cours de la journée de vendredi dans la presse, que comprend-on ?
Que les habitants d’une cité du Nord de Marseille ont expulsé manu militari des roms d’un campement sauvage à côté de chez eux, au motif que depuis leur installation, des dégradations, et des cambriolages avaient eu lieu et qu’ils étaient soupçonnés d’en être les auteurs. Et on nous montre leurs affaires, incendiées. Des images, donc, d’une extrême violence qui laissent supposer qu’une horde de « miliciens » sans doute armée est venue se faire justice elle-même, a tabassé les roms et à mis le feu à leur campement pour les faire déguerpir.
Hurlements des associations antiracistes, droits-de-l’hommistes et, au sein d’une partie de la gauche bien-pensante, on s’insurge. Pire même on accuse la police et la justice de complicité avec cette milice car, aucune infraction n’a été constatée ni relevée par les forces de l’ordre dépêchées sur les lieux !
En même temps il y a comme une certaine gêne : c’est que les « expulseurs » font partie des populations immigrées pour lesquelles on prend d’habitude fait et cause. Et comme, en vertu du théorème quantique, c’est la misère qui est la cause de la délinquance et que les roms sont particulièrement dans la misère, difficile de nier, par principe, le bien-fondé du motif invoqué par les riverains. Alors, c’est du grand n’importe quoi, Sarkozy, Valls, le manque de moyens, l’Europe, tout y passe.
Renseignements pris, que s’est-il passé ? Les habitants de cette cité (à tort ou a raison), ont jugé que la présence de ce campement de roms posait des problèmes de voisinage et de sécurité, qu’elle les gênait, et sont effectivement venus trois fois de suite leur demander de partir.
On imagine assez bien la scène : des éclats de voix probablement, de l’intimidation sans doute, des menaces peut-être, qui ont fini par décider les roms à partir pour éviter des histoires. Mais en aucune manière une expulsion à coups de bâtons ou de kalachnikov comme la plupart des articles le suggérait presque… Et l’image de l’incendie, de quoi s’agit-il ? De vestiges que les roms ont, hélas, l’habitude de laisser derrière eux lorsqu’ils lèvent un camp, auxquels les habitants de la cité ont partiellement mis le feu deux heures après leur départ pour s’en débarrasser.
C’est donc en toute logique que la police arrivée sur les lieux n’a pu relever aucune infraction… pour la bonne raison qu’il n’y en avait aucune !
On attendra en vain une amende honorable, une quelconque excuse de la part de ceux qui se sont empressés d’accuser la police de la République de protéger des milices qui se livreraient à de l’autodéfense contre les malheureux roms, (ce-qui-n’est-pas-sans-rappeler-les-pires-heures-de-notre-histoire, cela va de soi).
Loin de moi l’idée de minimiser ou banaliser ce qui s’est produit : que se serait-il passé, en effet, si les roms n’avaient pas cédé ? On n’en sait rien.
Pour autant, cette affaire est, à nouveau, révélatrice de cette chape de plomb du politiquement correct qui
pèse sur une partie de la presse et la gauche quantique.
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Aux dernières nouvelles , l’homme qui déclarait mythicomédiatiques les tournantes a déclaré renoncer à la défense des femmes violées de Tunisie accusées d’attentat à la pudeur.
Il serait accaparé ( dit-on) par la préparation d’un espace libéré sur son domaine pour accueillir les Roms renvoyés de Marseille.
Selon Asinus ( si j’ai bien compris…) les raisons pour lesquelles les riverains ont voulu faire partir les roms ne sont pas si claires. Cet espace libéré par la destruction des trois tours, où les roms s’étaient installés, serait un lieu de deals que la présence des roms gênait. Vous pouvez confirmer Asinus ?
yep c’est la version qui court les quartiers , la nature ayant horreur du vide tout espace laissé libre de controle republicain est rapidement investit , endroit sans devenir le coin n’est pas revendiqué territorialement » ça fait drole hein on croirait parler de vrais territoires » bref un modus vivendi c’est installé c’est un territoire exempt d’agression
et de predations vus que s’y traite nombre de deals et de « conseils » Les roms etaient au mauvais endroit.Par ailleurs dans la stratégie de tension des elus socialistes « socialiste n’est pas le critére qui compte « il est important de faire comprendre à Gaudin qui commande les quartiers ;tant que la mairie ne lacheras pas de pognons pour les assocs qui comptent elle ne construiras pas et n’amenageras pas comme elle veut , d’ou la resistance des trois derniers locataires qui paradoxalement refusent un relogement meilleurs a tout point de vue ,proche et moins cher , de la à ce qu’ils soient instrumentalisés , mais ce qui predomine c’est que nous sommes la en zone de non droits et pour certain c’est un critere
qui n’a pas de prix.
autre coexistence étonnante la présence forte et visible de musulmans pratiquants s’accomode assez bien de la cailleras et economie souteraine de la a savoir qui profite le plus de la présence de l’un ou de l’autre.Au vues des subventions proposées ou reclamées pour les associations revendiquées musulmanes il est clair qu’un deal a été passé avec les élus locaux .
Salut tous
Faut que je retrouve l’article, qui notait que c’était un (ou des) Rom(s) qui avaient appelé les flics car ils se sentaient en danger, surtout qu’ils y avaient des enfants. D’après ce que j’ai déjà vu dans le genre, il est clair que les Roms ont subi plus que des pressions (ils n’appellent pas les flics aussi facilement).
Dans les quartiers de la région parisienne où prêchent les imams les grands et petits caïds ne sont pas trop dérangés… buziness! bunissess! Au dernier ramadan quelqu’un nous racontait que son dealer ne servait que le soir.
Et puis il y a aussi le fait que les Roms sont des gens d’une culture plutôt libre, même s’ils sont croyants en quelque-chose. On mange du porc, on boit, etc… pas très halal tout ça oh!