C’est une guerre tout à fait méconnue, y compris des historiens. Elle ne figure donc pas dans les manuels de l’Éducation nationale et Morice, qui possède une connaissance totale dans tous les domaines, est donc le seul à l’enseigner.
Cette guerre débuta, après celle dite « de 100 ans », sous le règne de Charles VII et fut conduite par le dauphin Louis II, futur roi Louis XI.
À cette époque, régnait l’obscurantisme. Ni Saupiquet, ni Picard nulle part, même si par-ci par-là il advenait que certaines denrées soient congelées (sans aucun respect de la chaîne du froid) et, même, il arrivait que d’aucuns possédassent des glacières, hors normes européennes, cela va sans dire, mais toutefois assez mémorables pour marquer le siècle qui fût conséquemment baptisé « petit âge glacière ». Mais cela restait assez confidentiel car la grande distribution n’existait pas.
De plus, les paysans étaient tellement sots, qu’ils cultivaient bio sans label et, à cause de ce manque de rendement volontaire, la famine était endémique. En effet, s’ils avaient semé dru, comme on le fait maintenant, ils auraient indubitablement récolté les mêmes quintaux à l’hectare que nous connaissons de nos jours mais, faute de matériel adéquat, ces benêts auraient tout gaspillé. La nécessité de cet équipement était pourtant facile à comprendre, pourquoi ne pas profiter de la moissonneuse-batteuse inventée par les Gaulois ? Ce n’est certes pas grâce aux pesticides, ou autres produits pondus par Monsanto et consorts, que nous récoltons aujourd’hui autant de céréales.
La pratique la plus usitée pour la conservation des viandes était la salaison, agrémentée, ou non, d’autre moyen d’enfumage très prisé de nos politiques. La salaison était également utilisée pour conserver certains légumes comme le chou que l’on servait en choucroute, voire en choucroute royale lorsque celle-ci était servie au roi.
Le lait, quant à lui, était transformé en fromage ou en beurre pour les longues soirées d’hiver. C’est ce type de conserve qui nous intéresse ici. Le fromage, tel le gruyère ou n’importe quel autre camembert, fourme d’Ambert ou parmesan, est un véritable condensé de lait : 10 l de lait pour faire 1 kg de fromage ! Essayez-donc de trouver un meilleur moyen de stockage !
Mais revenons à nos royaux héros. Louis II et son père ne s’entendaient pas, mais alors pas du tout, quoi qu’aucun des deux ne fût sourd. Charles VII avait d’autres chats à fouetter, notamment, il forniquait Agnès Soral (les partisans d’Agnès furent nommés soraliens par morice) et, pour être tranquille avec sa belle, il avait expédié femme et enfant loin de lui, chez les bouseux.
Louis suivit néanmoins des cours particuliers classiques durant son exil champêtre : math, français, latin, histoire-géo, grec, suisse (soit : italien, allemand et français, cette dernière langue comprenant aussi l’anglais à l’époque) philo, rhétorique, droit, sciences-de-la-nature-et-de-la-vie, ainsi que arts-de-la-guerre (de quoi passer un bac classique des années soixante). Lorsqu’il n’était pas en cours, ses compagnons de jeux étaient les ploucs des alentours, dont il parlait également le jargon. En plus de l’art de la chasse, qui lui était enseigné pendant ses heures creuses, il apprit avec ses camarades ploucs à braconner et à poser toutes sortes de pièges, et autres collets, sur les terres de sa propre mère. Bien souvent, il rentrait à la maison tout crotté, les lèvres fendues et un œil, voire les deux, au beurre noir. Bref, un vrai gibier de potence qui eût été bon pour la maison de correction si cette dernière avait été inventée.
À cette époque, déjà, ses vêtements étaient comparables à ceux des meutes-homophobes-racistes-d’extrême-droite-fascisante-de-réinscrits souvent sur le même pseudo : jean, rangers, blouson et casque à pointe.
Par morice (—.—.21.54) 23 juin 18:01
Salut morice : est-ce que vous pourriez faire un article sur la privatisation de l’armée américaine, et sur le fait que Black Water accepte désormais des contrats de la Chine en Afrique contre les intérêts américains ?
quand on produira mes articles sur l’UMP, le FN et Dieudonné… ou les propriétaires du Phocea qui ne veulent pas se montrer au grand jour…
vous savez, j’en ai des articles de faits. Et j’ai les mêmes rejetés par la bande de facho qui a pris le pouvoir en modération ; celle des soi-disants rédacteurs à deux articles seulement… tous supporters de Marine LePen ou du négationnisme… tous les étés depuis 6 ans c’est la même chose, et j’ai droit au même pillonage, à croire que la direction de ce site est atteinte d’Alzheimer : on me diffame et on insulte le site en se réinscrivant sous les mêmes noms, et c’est à moi en plus de le signaler !
quelle pitié !
Pendant ce temps, pour une vague histoire de gros sous, Charles maria son fils alors âgé de 13 ans, en son absence et à l’insu de son plein gré, à Marguerite, fille de Jacques 1er, roi d’Écosse allié à Charles dans son combat contre la perfide Albion. Précisons que les Écossais n’étaient pas encore aussi radins qu’aujourd’hui.
Lorsqu’il fut appelé à la cour, par son père – qui aimait tant les fêtes et les fastes alors que le pays était exsangue, ayant été ravagé pendant un siècle par des guerres qui avaient traumatisé Louis enfant, de par les malheurs qu’elle apporte à la population – à l’âge de 14 ans, il couvrit son paternel de honte. Cette vêture, rappelant les heures les plus sombres de notre histoire, ces jambes torses et cette taille ridiculement petite, ce visage ingrat ne pouvaient être ceux de son fils, son héritier, le futur roi ?
De dépit, Charles envoya donc Louis combattre en son nom, à droite, à gauche, et au centre, à la tête d’une chétive armée, dans l’espoir inavoué qu’il saurait mourir dignement. Cependant Louis vainquit, aussi bien sur le champ des batailles que sur le plan diplomatique. Son père, Charles, très déçu, oublia de le remercier. Vexé, Louis s’impliqua alors dans un putsch, ourdi par un quarteron de princes jaloux et fielleux, qui fut vite réprimé.
Charles, en père miséricordieux, ne l’emprisonna pas à Tulle où y il aurait pu ainsi-cela, sans même changer de prénom. Louis ne cessait de geindre et fit rien qu’à embêter son père, lui réclamant le Dauphiné qui était son fief. Il en vint même à gifler la belle Agnès et à la poursuivre dans le château de Chinon, son braquemart à la main. Poussé à bout, Charles accepta enfin que le dauphin parte dans le Dauphiné et l’y expédia se disant qu’il serait au moins hors de sa vue et de celle de sa belle.
Le Dauphiné n’était pas vraiment un cadeau puisqu’il revenait de droit coutumier au dauphin. Il était de surcroît si mal dirigé que pour y mettre bon ordre ce ne serait pas du gâteau. En effet, la noblesse et le clergé, tout le gratin dauphinois, ne se préoccupaient que de percevoir taxes et impôts et de s’enrichir sur le dos de la populace, ils ne voulaient surtout pas partager le fromage. Rien de bien différent avec ce qui se passe de nos jours, mais nous sommes maintenant habitués et nous gardons bien d’en faire tout un fromage.
Louis entreprit donc d’ordonner ce pataquès. Il commença par mettre à genoux tout le clergé, en particulier l’évêque de Gap, Gaucher de Forcalquier, en une posture conforme à un homme de Dieu et fit, par ailleurs, comprendre aux seigneurs qu’ils étaient ses vassaux. Contre toute attente, sa gestion se révélant finalement excellente (routes construites, marchés implantés, et toute la logistique y afférant), les Dauphinois sortirent de leur misère et de leur maigreur principalement grâce aux produits laitiers et, en particulier, au fromage.
En effet, contrairement à ce que prétendent certains historiens révisionnistes, le gruyère a été inventé par les Dauphinois, tout comme l’emmental. Ces fromages sont français et bien français. Ce sont les Suisses qui ont subtilisé la recette de fabrication, et plus précisément ceux d’un petit hameau du canton de Fribourg. Ils s’enrichirent honteusement en produisant du gruyère de contrefaçon de telle sorte que le petit bourg se transforma rapidement en une ville, qu’il fallu faire protéger par un puissant et fastueux château afin de le prémunir contre le courroux des Dauphinois. Ils poussèrent même l’impudence jusqu’à nommer cette ville nouvelle « Gruyères » avec un « s » pour narguer les Dauphinois et leur rappeler qu’il existe bien, de fait, deux fromages de gruyère. En réaction, et pour tourner en ridicule le « s » de Gruyères, les Dauphinois créèrent un autre fromage qu’ils baptisèrent « comté ». Les Suisses, très taquins, réfléchirent alors à l’idée de rebaptiser leur ville « Comtés » mais, compte tenu des frais – de changement de poteaux indicateurs, de réimpression des cartes routières de la région tout entière, de réimpression des cartes de visite et des passeports ainsi que de toutes les plaquettes touristiques helvètes, et j’en passe –, que cette initiative (même le syndicat du même nom s’y est fortement opposé) aurait occasionnés, ils y renoncèrent de guerre lasse.
Charles ordonna à son fils de partir prêter main forte aux Autrichiens dont l’empereur était son grand pote. Ce dernier redoutait la turbulence des copieurs de fromage à ses frontières. Louis, ayant un compte à régler avec ces frauduleux Helvètes, s’empressa de lui obéir. Il embaucha les anciens mercenaires des guerres franco-anglaises, ou « routiers », qui traînaient sur les routes depuis leur démobilisation, vivotant de rapine, et de pillages divers, s’adonnant à des viols en réunion quand le temps le permettait et que la fille était jolie. À la tête de son armée recomposée, il se lança donc sus à l’ennemi mais tomba par inadvertance dans une embuscade tendue par deux mille Suisses. Le combat fut sans gland mais néanmoins viril. Bien que l’armée suisse ait été totalement anéantie, Louis essuya de lourdes pertes, et même des pertes supérieures en nombre, il faut bien le confesser. Il fût toutefois particulièrement impressionné par le courage et la combativité de ses adversaires bien décidés à en découdre plutôt que de se rendre, ou pire, s’enfuir (nonobstant la lenteur congénitale du natif de ces cantons de montagne, dont le cri de guerre est « Nyapâl feuhôlââk ! », et qui est un lourd handicap pour prendre ses jambes à son cou, mais quand même !) Ayant constaté ces qualités, Louis se dit, en son fort intérieur, qu’il était plus sage de rester en bon termes avec des gaillards de cet acabit et se résolu à faire ami-ami avec l’armée helvète, menée en cette occasion par un certain Guillaume Tell, farouche cultivateur de pommiers.
Vint ensuite la prise de Bâle et l’histoire de l’antipape Félix qui n’a rien à voir avec le fromage, la spécialité des Bâlois étant, comme chacun sait le Läckerli (message perso. : si des natifs de Bâle lisent cet article, qu’ils m’envoient des Läckerlis par retour de courrier). C’est pourtant ces événements, auxquels se sont ajoutées quelques enveloppes bien remplies ou quelques bâtisses bien agencées et pourvues de tout le confort moderne de l’époque, qui valurent à nos chefs d’État l’immense avantage de porter le titre de chanoine. Il faut savoir que ce titre honorifique perdure de nos jours malgré son incompatibilité flagrante avec l’attitude pro-islamique manifestée par les présidents qui se succèdent à l’Élysée depuis quelques décennies.
Mais fi des apartés, revenons à notre Louison. Louis avait donc réussi à se débarrasser de quelques milliers d’anciens routiers en les jetant sous le feu des Helvètes, dont il s’était ensuite fait des copains, mais il lui en restait quand même un certain nombre sur les bras. Et pour rien au monde, il ne voulait les relâcher sur ce pauvre peuple qui en avait déjà vu de toutes les couleurs. Après mure réflexion, il décida de se porter vers le nord afin de faire jonction avec l’armée autrichienne. Tout du long du chemin, afin d’économiser leur solde, il laisse les écorcheurs écorcher et les dévasteurs dévaster tout en entraînant ses troupes à brailler de vaillantes chansons de marche, ce qui distrait les populations traversées tout en leur faisant accroire qu’elles sont ainsi libérées, subtile stratégie prise aux Ricains venus nous envahir, pardon ! nous libérer en 44.
Une partie de son armée s’égara et, par distraction, se retrouva en Alsace (le GPS, ils ne connaissaient pas). Sans penser à mal et méconnaissant que cette région appartenait aux Habsbourg, ils prirent quelques villes en passant.
À la simple vue des soudards et de leur étourderie, l’Autrichien prit peur et demanda à négocier. Ayant ouï dire le plus grand bien d’un fameux fromage alsacien, excellent avec des pommes de terre en robe des champs – alors interdites à l’importation par crainte, fort justifiée, des doryphores –, Louis réclama, pour prix de son départ, qu’il entérine les prises alsaciennes dont la belle ville de Munster spécialiste de l’odoriférant met. De leur côté, les matois Suisses en profitèrent, pour s’accaparer quelques territoires par-ci par-là qui les intéressaient pour mettre en
Charles, apprenant les « succès » de sa malingre progéniture aux dépens de son copain, manqua s’étouffer de rage. Rongé par une malveillante jalousie devant ce qui ne pouvait être qu’une chance insensée, il décida de cantonner cet encombrant dauphin qui persistait à ne rien comprendre à son mandat, au fin fond de son fief, lequel était presque devenu un petit royaume indépendant et prospère. Comme on sait, « loin du cœur, loin des yeux »… Autant pour tromper l’ennui que pour passer le temps, Louis s’essaya à soulever quelques seigneurs du midi, au grand dam de Charles.
Cependant, tandis que son époux guerroyait sur les routes avec les routiers, la petite Marguerite d’Écosse avait bien grandi (heureusement car elle avait 5 ans le jour de ses noces !). Intelligente et cultivée elle était cependant de santé fragile puisqu’elle devait décéder avant son vingt-et-unième anniversaire, sans laisser d’héritier au Dauphin qui l’avait négligée car il trouvait qu’elle sentait mauvais (bien peu courtois, surtout venant d’un
amateur de fromages !) La pauvrette s’était éteinte en prononçant ces mots inoubliables : « Fi de la vie en ce monde, ne m’en parlez plus ».
Prématurément veuf, Louis se mit en quête d’une autre fillette à marier. C’est alors qu’il entreprit de négocier, en cachette de son paternel, avec Louis 1er de Savoie qui était père d’une jouvencelle, monnaie d’échange fort utile pour sceller des alliances. Il est vrai que la Savoie était alors déjà alliée à la Bourgogne, toute puissante, et ennemie jurée de son père. Mais la Savoie possédait le secret de la fondue qui agrémentait fort agréablement la nourriture de base, le pain, par trempage dans un onctueux mélange de tome de Savoie, de gruyère (avec ou sans S) et surtout de beaufort, intimement mêlés et fondus dans du vin blanc … Convenez que cette recette était un argument de poids pour aller contre la volonté paternelle ! Louis avait bien compris que la puissance et la richesse ont pour origine le fromage, et encore mieux : les fromages.
Furieux de ce qu’il considérait comme une mésalliance, Charles expédia son armée prendre le Dauphiné tandis que son fils, accompagné de sa petite épouse, se réfugiait chez son oncle, le duc de Bourgogne. Cette tempête familiale, et néanmoins royale, est restée dans les mémoires indissolublement liée au fromage de Beaufort (la tome et les gruyères, moins subtilement parfumés, étant passés au second rang). On l’utilise encore de nos jours pour étalonner la force du vent et de la mer, c’est l’échelle de Beaufort.
Le Dauphin Louis II devra patienter encore quelques années pour être couronné roi de France, sous le nom de Louis XI. Il continuera à œuvrer pour la richesse de la France parcourant inlassablement les routes, à cheval, malgré ses hémorroïdes, à la conquête des fromages de toutes les régions de France, et même de Navarre, qui font actuellement la richesse de nos tables et que tous les pays nous jalousent. Louis XI fut sans conteste le plus grand fromager de France.
Louis était un populiste démagogue. Lors de ses longues chevauchés, à la nuit tombée, il n’hésitait pas à demander gîte et couvert pour lui-même et les trois ou quatre seigneurs de haut rang, qui l’accompagnaient, au premier péquenot rencontré qui soit pourvu d’une masure susceptible des les abriter des intempéries. Un certain Valéry l’imitât quelques siècles plus tard. Toutefois, notre Louis, quant à lui, évitait de décliner son identité et ouvrait largement ses yeux et ses oreilles. Il se contentait alors du brouet familial et s’enchantait s’il était accompagné d’un bout de fromage. La nuit, il la passait dans l’écurie ou l’étable, au grand désespoir de son escorte. Au petit matin, il défrayait son hôte, le plus souvent d’un unique petit écu d’or, tellement il était radin (ne mangeait-il pas souvent en Suisse ?). Ayant enregistré les derniers cancans du peuple il reprenait la route mieux armé pour manipuler et tromper ses sujets lors de la prochaine campagne en vue des élections monarchiques.
Bref, Louis fût un personnage bien peu recommandable. Heureusement, notre bonne république réussit maintenant, grâce à des élections propres et honnêtes, à maintenir les royaux démagogues à l’écart de la caste dirigeante.
Si Louis était autant aimé par le peuple, rempli de gratitude fromagère, et haï par les grands, qui préféraient la viande, c’est bien, comme on l’a démontré dans cet exposé remarquable de précisions et d’érudition, parce qu’il était fasciste-raciste selon les normes de l’école moriciennne.
Toutefois, la guerre fromagère n’avait pas dit son dernier mot et continua de plus belle. Peut-être les lecteurs les plus méritants pourront-ils se délecter, tout en s’instruisant, de la suite de cette épopée qui sera, sans nul doute, aussi passionnante qu’icelle.
– Ces deux fillettes ont influé le destin du dauphin Louis II. Deux mariages derrière lesquels se profile la politique de répression des fraudes et du banditisme du futur roi Louis XI, le cardinal Balue s’en est mordu les doigts …
Lyacon
Doctorant en moriçologie
À ceux que ça intéresse je ne peux que conseiller le Bouquin de Kendall, non pas parce que c’est le meilleur mais parce que c’est le seul que j’aie lu et travaillé au temps où je me heurtais au Capes…
Je n’avais pas fait le choix de jouer les malades mentaux pour toucher des allocations
Je ne jouais pas au Morice non plus , je n’avais pas assez de piston dans mes relations.
Le cardinal la Balue a tâté d’une des ces fillettes …Il est connu par chez moi car il est natif d’Angles sur Anglin un assez chouette village tout près.
Il me semble en avoir vu un exemplaire ( conservé ou reconstitué) à Loches.
Je reviens à Angles sur Anglin.
Sa foire aux livres d’occasion a été longtemps ma source d’approvisionnement en livres abordables avant qu’internet ne me permette de choisir mes bouquins…
l’échelle de Beaufort
Si vous allez à Loches ne manquez pas d’aller admirer le gisant d’Agnes
Et…si vous vous intéressez à Agnes Sorel accordez-vous un moment pour faire faire la connaissance de Philippe Charlier, un personnage étonnant
Merci beaucoup de ces apports
Môssieu l’auteur :
Votre littérature ne nous intéresse pas et ce pour les raisons suivantes
1) vous écrivez un français à peu prés correct et pas en style radiophonique ce qui fait que nous arrivons à lire votre nartik jusqu’au bout, d’autant qu’il n’est pas plombé de bolducs à la con
2) vous résumez en un seul épisode alors que les grands journalistes citoyens sont capables d’en faire 50 sur un même thème : relisez coke en stock ou cargos de nuit
3) une histoire où il n’y a pas complot ni de la CIA, ni du Mossad et où il n’y a pas de meute de néo-nazis poursuivant le résistant-journaliste-citoyen solidaire démocrate et équitable c’est bon pour la collection Arlequin
4)Vous n’êtes même pas capable de placer un grônavion , même quand la magnifique occasion se présente : le Beaufort c’est avant tout ceci
Pour le moment vos publications sont à peine supérieures au pire du web comme par exemple un nartik du philocycliste.
Nous connaissons tous la grande bonté de notre webmaster qui malgré son côté acariâtre a toujours démontré une générosité sans faille pour les petits nouveaux de sa classe.
Sans doute vous donnera-t’il une seconde chance. Ne la gâchez pas 😈
Attaque en meute du troll snoopy, viré 86 fois et réinscrit 85 fois comme le prouve son pseudo Snoopy86.
Que des insultes diffamatoires et injurieuses, rien au sujet de l’article.
Il y a en a marre, le site est envahi par l’extrême droite. Cela tombe sur le coup de la loi ; la modération, en laissant publier de telles interventions … vous en êtes complice !!! Une honte !!!
J’exige la suppression immédiate et totale de son compte.
Ne voyez-vous pas ce que signifie son pseudo ? Il faut tout vous expliquer !!!
Snoopy c’est un pseudo codé, procédé utilisé par l’extrême droite pour se faire reconnaître des seuls initiés. Snoopy est un personnage de BD dont l’auteur, Schultz était le chef de la Gestapo à Paris.
La preuve ici dans ce reportage (à 2’20 ») ah ah ah !!!
Si tous pouvez prendre exemple sur Furtif qui fait des interventions intéressantes …
ATTENTION, ATTENTION ❗
Attention à la méprise. Le pseudonommé Furtif sous la débonnaire couverture de jardinier en pantoufle est en réalité la tête pensante et le chef du réseau.
Il parait même qu’il est capable de faire tomber à distance de pauvres innocents dans la boue.
C’est fou ce qu’on apprend dans les officines.
Et de faire perdre l’équipe de France de football avec ses pouvoirs magiques. Notre jardinier n’aime pas les Attilas des pelouses ?
T’as raison Causette
Tout ça c’est trop de puissance…
Parfois je ne peux pas me contrôler…
Tu te rends compte : faire tomber un type à 200 mètres de distance….Rien que par le pouvoir de la pensée….D’ailleurs, en plus de la victime, il y avait des témoins.
Ranta, merci beaucoup sur ce renseignement. L’envoi en nombre d’informations circonstanciées et argumentées aux services concernés se fait au détriment de la tenue de mes fiches; c’est un vrai dilemme, il faut arriver à un équilibre pour pouvoir rester performant.
Pas de quoi.
Au sujet de Snoopy, ce dernier a des responsabilités limitées dans l’organisation; il ne gère que les 8327 infiltrés à la modération de maboul de son département.
Je suis comme lui, sauf que moi je n’en ai que 7123. Ce qui d’ailleurs ressenti sur ma prime de fin d’année. 😕
le ah ah ah n’est pas en majuscule. On sent le faux! AH AH AH!
Une vraie échelle de Beaufort
yep , comme allergique au lait je me sens stigmatisé !
Hélas je crois bien n’avoir jamais gouté au Beaufort
Pour son prochain buffet, tu pourrais communiquer à Buster l’adresse des coopératives que je cite plus bas, ils livrent dès qu’il y a une certaine quantité.
Sinon, on peut toujours essayer avec la prochaine livraison de Fanta, mais faudrait quand même compléter avec plusieurs bouteilles d’Apremont, c’est ben meilleur! 😕
excellent! merci de partager ces informations les plus précieuses.
Bien vu, car cet excellent article de Wikipédia montre de nombreuses perspectives à l’écologie ou culture-élevage raisonné lorsque celle-ci est initiée par des écologues (pas ces fumistes de khmers verts) qui dans leurs recherches puis conseils prennent toujours en compte la faisabilité d’un projet autant du point de vue économique, sociale (sens général du terme)et environnemental.
Dans ces derniers commentaires Lyacon nous confirme qu’il est un « debunker » . Je soupçonne qu’il ait été infiltré sur Disons par Chamnord et Reopen.
Quant à notre filiation avec Papa Schultz il m’est très difficile de la contester 😆
Voudrais-tu dire que nous allons revivre les heures les plus sombres de l’infiltration citoyenne….???
D’ailleurs moi c’est bien simple :depuis que je viens de découvrir les dessous du fascisme je ne me sens plus ❗
je reconnais bien là ton côté « vieux cochon » si souvent dénoncé par le fracassé 😆
La copine de Ranta ….
Vain Dieu, Cosette ❗ 😀
ah! ba moi « Je n’ai pas changé »
Bonsoir à tous,
Merci Lyacon, j’apprécie beaucoup ta manière d’aborder l’histoire. Par chez moi, c’est la guerre du Beaufort. Il y a les puristes qui ne jurent que par le fromage produit et affiné dans ses terres d’origine, à Beaufort sur Doron, les provocateurs qui s’approvisionnent à Bourg Saint Maurice, et moi qui suis tombé en pamoison devant le manège de la traite automatique à Peisey-Nancroix, juste en face du massif du Beaufortin et des payasages enneigés tout autour de la GAEC.