Samourai V. Supplément au Voyage au pays du Soleil Levant.

On dirait bien que mon intérêt pour l’histoire du Japon n »est pas perdu au milieu d’un océan d’indifférence. Un site Weapons and Warfare , que je consulte quotidiennement, offre, en ce 15 Mars 2019, un article plein d’intérêt qui apporte un supplément éclairé à mes tentatives au sujet des rapports entre le mythe japonais et la vérité historique.

Nous serions sur le site citoyen/charlatan je n’hésiterais pas à m’attribuer la paternité de ce qui va suivre . Mais , hélas pour tous, nous n’y sommes pas , la vérité scientifique étant un alcool insupportable aux palais délicats de notre marchand de charlataneries citoyennes et de ses comparses. Aussi, je vous indique l’adresse du site consulté.

https://weaponsandwarfare.com/2019/03/15/eastern-peril/

et celle de la traduction.

https://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=auto&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fweaponsandwarfare.com%2F2019%2F03%2F15%2Feastern-peril%2F

Pour vous inciter à la lecture de l’article sans trop piller le Nartic anglais

EXTRAIT de l’article traduit :

« ………En 1853, les États-Unis ont envoyé quatre navires de guerre sous le Commodore Matthew Perry pour établir des relations commerciales ouvertes avec le Japon. Les Japonais étant au point mort, Perry rentre dans la baie de Tokyo un an plus tard avec plus de navires et fait allusion à la guerre si aucun accord n’est conclu. Pendant des siècles, le Japon s’était isolé du monde et, jusqu’à la venue de Perry, il existait dans un cocon féodal introspectif. Personne n’a été autorisé à quitter le Japon et personne n’a pu visiter, à quelques exceptions près. L’arrivée de Perry a tout changé et le Japon a rapidement adopté l’ère industrielle moderne. Des experts occidentaux ont donné des conseils sur tout, des systèmes postaux à la réforme de l’armée.

L’arrivée de tant d’étrangers a provoqué un schisme dans la société japonaise qui a affecté la vie politique. Bien que le Japon fût dirigé théoriquement par un empereur, depuis le 17ème siècle, des dictateurs militaires connus sous le nom de shoguns dirigeaient le pays. Après plusieurs révoltes, en 1868, le pouvoir impérial est restitué au jeune empereur Meiji (1852-1912), qui adopte une série de lois annonçant une politique d’occidentalisation et de tolérance envers les étrangers.

Alors que le Japon embrassait avec enthousiasme tout ce que l’Occident avait à offrir, peu d’Occidentaux réalisèrent l’amertume ressentie par de nombreux Japonais envers les étrangers. Une philosophie connue sous le nom de Hakko Ichiu (Huit coins du monde sous une seule règle) s’est emparée du Japon, qui prêchait une doctrine de supériorité raciale et le droit divin du peuple japonais de faire à sa guise. On disait que le Japon était au centre du monde et que le tenno (empereur) était un être divin descendant directement de la déesse du soleil. De plus, le peuple japonais était protégé par ses dieux et était donc supérieur à tous les autres. Le Hakko Ichiu a également eu un impact profond sur la politique étrangère, le Japon ayant été chargé d’une mission divine : amener toutes les nations sous le règne bénéfique du tenno.

Un autre commentaire par un espion double ou triple italien éventuellement au service du Japon: Amleto Vespa

With the Japanese samurai all means are permissible as long as they lead to the end in view. To them it is smart to lie, to cheat, to deceive, to intrigue, to be double-faced, hypocritical, provided it pays or brings power. It is in their nature to be false.

Cette mentalité et cette manière de faire n’est pas sans rappeler le rôle joué par
leur chef : Le Divin empereur Hiro Hito et certains imitateurs funestes « acteurs » de l’histoire contemporaine

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