Le vent tourne . Que dis-je le vent , c’est une déferlante de purification historicopurificatoire. C’est une toute nouvelle conversion frénétique au puritanisme version new age . Le même new âge qui vous appelait en sens inverse il y a peu. Dans un climat de remord généralisé , c’est à qui le premier jettera aux gémonies ce dont hier il faisait ses délices.
C’est connu, le monde des petits marquis est si inconstant et si inconsistant . Le très « en cour » et très convenable magazine « Le Point » pose la question .
Article : faut-il purger les années 1970 et 1980 ?
L’époque réclame – légitimement – des comptes à ces artistes qui se sont arrogé, dans la vraie vie, le droit de tout faire. Au risque de dénier à l’art le droit de tout dire ? Par Violaine de Montclos
Alors ?
N ‘hésitons pas …. Engageons nous comme la dernière des girouettes, aux cotés des inconsistants bobos convenables dans leur croisade rédemptrice , portons le fer de l’autocritique et de la fustigation qui va avec jusqu’au racines de notre culture.
Commençons à ramasser du bois pour les autodafés sacrés . Torquemada est redevenu le chanteur à la mode . Déjà Le Roman de Renart tremble sur la sellette . La meute de la contritionitude est déjà sur sa piste.
Où qu’il est le bestiau ?
Un roman de Renart ça doit se voir .
Bin….pas tant que ça.
Que Michel Corne soit remercié pour son œuvre de sauvetage et de salubrité publique en un temps où le retour en force du puritanisme bien en cour contamine l’espace républicain de la vie en société. Le mal court dans les salons mondains prétentieux et inconstants et par les confortables terrasses, basse-cours jacassantes et sans mémoire. Ces croisés de l’hypocrisie se sont trouvé un terre à détruire : la liberté de penser d’agir et d’écrire .Et mon dieu , quelle troupe ! Ces pitres donneurs de leçons , éperdus de notoriété factice garnissaient les rangs , il y a peu, de ceux qu’ils veulent aujourd’hui planter sur les bûchers .
La vertu affectée a de ces plaisirs subtils parfois . Les retournements de veste en sont.
Revenons à notre Goupil.
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Voici ce qu’il y a plus de 8 siècles les esprits libres et, heureux de l’être, savaient servir aux puissants de l’époque sans que ces derniers s’en offusquent . Incroyable , tout en s’y reconnaissant, ils savaient en rire .
Oui ma chère , ils osaient !
Il faut lire les textes in extenso pour y découvrir un personnage complexe qui, tour à tour, enjôle et défie le roi, la cour, l’Église et même les femelles en général qu’il possède sans vergogne
Le bon archiprêtre Bernard _ La mort de Renart
Bernard poursuit l’éloge du défunt, et va jusqu’à excuser les liaisons de Renart avec Hersent et dame Fière. Tour à tour les animaux évoquent les péchés de Renart mais ils lui sont tous pardonnés. Edition Hachette
Voilà comment l’édition Hachette en ligne squeeze le plus savoureux de la Branche XVIII
La verdeur des auteurs du Roman de Renart effraierait-elle toujours et à ce point les âmes si tendres et si vertueuses de l’édition contemporaine?
Ça se pourrait bien . Retournons au texte et demandons nous quel peut bien être l’intérêt littéraire de ce résumé si présentable.
Traduction contemporaine | Texte original |
Renart, qui vient de trépasser
a mené l’essentiel du temps une vie de martyr et d’apôtre. Espérons que nous mènerons tous une vie de repentir aussi bonne que lui, car je n’ai aucun doute que l’issue soit la bonne pour lui. Il n’a jamais été tenté par la méchanceté ou la folie, et a toujours vécu sans perfidie, ni malice, ni orgueil. Jamais personne n’a vu de prince de sa trempe. Et s’il a volontiers baisé, il ne faut pas en faire une histoire. Il n’y a pas en ce monde de roi ou de comte qui n’a jamais baisé ou qui ne baise plus, ça ne fait aucun doute. Il convient, à mon humble avis, de baiser, car je vous le dis à tous, baiser n’a jamais été défendu, c’est pour cela que le con est fendu. Je recommande à chacun, ici même, lorsque sa verge est dure et raide, de trouver un con disponible et de le baiser, car il sera pardonné et rien ne lui sera reproché. Quand la verge est bien séparée des couilles, baiser n’est pas un péché, pas plus que de faire des andouilles, boyaux après boyaux. Tout le monde joue avec ce jouet, et Renart a baisé de bon gré. Son cœur a été tout entier pour dame Fière, et je n’ai pas peur qu’il me frappe de le dire ici puisqu’il est mort. Mon cher roi, au nom de Dieu, faites crier dans tout votre empire que ceux qui baisent ne sont pas les pires. Je pardonnerai leurs péchés, et si je pouvais les récompenser avec de l’argent, je le ferais volontiers tout en les pardonnant. Ce n’est pas une promesse en vain, car ici même et devant Dieu, je leur pardonne de baiser. Ils auront pour pénitence, de manger de la viande à volonté pendant une semaine. Ceux qui ignorent mon commandement, hommes, femmes ou bêtes, et qui ne baisent pas de plein gré, seront couverts de chaînes en fer de la tête aux pieds dans les tourments de l’enfer ! Alors que ceux qui m’écoutent iront au paradis avec Dieu. » Une fois le sermon terminé, le bon archiprêtre Bernard continue la cérémonie, par un confiteor puis prononce l’oraison funèbre de Renart : « Ah, Renart, mon ami, fait-il, vous avez visité tant d’endroits, bois, forêts, plaines, pour remplir votre ventre et apporter à Hermeline, votre femme, un coq, une poule, un chapon, une oie ou un oison gras. Ils tombaient toujours à point quand vous pouviez en attraper. Mais vos actes de bravoure et vos bonnes actions n’auront plus lieu. Jamais plus de tel prince ne verra le jour ! Seigneur Renart, Hermeline va se sentir bien seule. Elle n’aura plus de bon traitement, comme vous saviez bien lui donner. Elle devra maintenant se contenter de se frotter le bas-ventre avec les mains : elle allait au mieux, maintenant elle ira mal. | Renart qui la vie a finee, Si a a son tens demenee Vie de martir et d’apostre. Einssi feïssent tuit li nostre, Et aussi bonne repentance, Qar de lui ne sui en doutance Qu’il ne soit a bone fin pris. Onques nul jor ne fu espris De mauvestié ne de folie. Il a esté sanz vilanie Et sanz malice et sanz orgoil. Onques nul jor ne virent oil Prince qui fust de sa vertu. Se il a volentiers foutu, L’en n’en doit tenir plet ne conte. Il n’a el monde roi ne conte Qui n’ait foutu ou qui ne foute, De ce ne sui je pas en doute. Foutre covient, si con moi semble, Por ce vos di a touz ensemble Que foutre n’ert ja desfendu. Por foutre sont li con fendu. Je conmant a touz orendroit ; Qui avra le vit dur et roit, S’il a le con abandonné, Le foutre li soit pardonné, Ja ne li sera reprouchié, Qar de foutre n’est pas pechié, Puis que vit soit partiz de coille, Ne que il est de fere andoille Qui vet de bouel en bouel. Tuit se gieuent de cest jouel. Renart a foutu volentiers. A Renart a esté entiers Ses cuers et a ma dame Fiere, Mort est, n’ai peor qu’il me fiere Por chose que je racont ci. Biau sire rois, por Dieu merci, Faites crïer par vostre empire Que qui foutra ja n’en soit pire. Le pechié lor voil pardonner, Et se lor pouoie donner Rentes, volentiers lor donroie, Et le pechié lor pardonroie. Ne lor pramet pas en pardon Ci et devant Dieu lor pardon Quant que a foutre mesprandront. Tele penitance enprandront Que il mengeront a estraingne Char toute longue la semaingne, Et qui de mon conmant istra Et qui volentiers ne foutra, Soit home, soit fame, soit beste, Et piez et mains et cors et teste Li soit de cheennes de fer Lïez el grant torment d’enfer. Et cil qui mon conmant feront En paradis o Dieu seront. » Quant l’arceprestre ot finé Son sermon et determiné, De son servise s’avança. Son confiteor conmença Le bon arceprestre Bernart, Puis dist l’oroison por Renart : « Haï, dist il, Renart, amis, En maint pertuis vos estes mis En bois, en forest et en plain Por avoir vostre ventre plain, Et por porter a Hermeline Vostre fame coc ou geline, Chapon ou oue ou cras maton ; Tot jors estoient en saison, Qant vos les pouiez tenir. Or estuet a noient venir Les granz hardemenz c’avez fait Et les biens dont estes retrait. Ja mes tel prince ne morra. Sire Renart, or demorra Hermeline mout esgaree, Ja mes n’avra de bien denree. Bien le saviez procurer, Or li covient metre tremper Son ventre oveques ses mains : Du plus estoit, or est du mains. |
On peut juger cet extrait un peu long . Mais ,….Je ne me suis pas trouvé de raisons valables de faire plus court . Il n’est pas inutile de confronter cet extrait de la branche XVIII du Roman de RENART au discours contemporain des autorités religieuses de tout poil, d’orient comme d’occident ; discours répressif et antijouissif s’il en est… Comme quoi avancer dans le temps n’est pas toujours synonyme de progrès ! Quoi qu’en disent ou en déblatère les petits glossateurs mondains.
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La renommée de ce « Roman » dépassera les frontières de l’espace et du temps.Il servira de modèle à bien des œuvres , toutes empreintes du même esprit de liberté
Petit rappel du roman
Après plusieurs péripéties, le célèbre goupil finit par se retrouver dans la tanière conjugale du loup Ysengrin et de sa femme, Dame Hersent. Renart étant seul avec la louve, en profite pour humilier son ennemi de toujours en ayant une relation adultérine avec sa femme, humiliation parachevée lorsqu’il urine sur les louveteaux, les enfants de la maisonnée, avant de partir. Ceux-ci se plaignent à leur père qui demande donc des explications auprès d’Hersent. Cette dernière se récrie et jure de son innocence. Les deux époux se lancent alors dans une chasse au renard où la louve se retrouve coincée dans un terrier en voulant poursuivre Renart qui a pu s’y faufiler. C’est alors que Renart sous couvert d’un prétendu secours viole Hersent sous le regard de son époux, prétextant vouloir la dégager de la tanière en la tirant de toutes ses forces. Dame Fière , reine et épouse du roi Noble sera , elle aussi une des « malheureuses victimes » de la concupiscence de Renart.
Un gros siècle plus tard
« La jeune fille, qui n’était ni de fer ni de diamant, se plia fort aisément aux vouloirs de l’abbé. » Boccace
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S’inscrivant dans la lignée esthétique et morale des auteurs du Roman de Renart leDécaméron est une éloquente et courageuse protestation de bon sens et de liberté, contre l’abêtissement organisé en système par la scolastique de l’école et la superstition monacale. On y retrouve le même esprit frondeur dans sa peinture du clergé de son temps
Les virulentes satires de Boccace sont un plaidoyer pour la liberté .
Pour ce faire , non content de fustiger à tour de bras moines et prélats, il s’attaque au dogme lui-même. Les religions ? Pas une pour racheter l’autre , elles sont toutes à mettre sur le même rang : la juive, la mahométane et la chrétienne . Il n’hésite pas à dire leur origine commune et laisse entendre fort clairement qu’elles se valent bien toutes les trois .
Il fallait oser une telle audace face aux bûchers de l’Inquisition.
Les distinctions sociales, toutes de conventions, n’en imposent pas davantage à Boccace. Son œuvre ne manque pas de passages où il n’hésite pas à déclarer que tous les hommes naissent égaux, que la seule noblesse tient à l’intelligence et à la vertu, et non au hasard de la naissance .
Les Brigitte , les Carla et autres vertueuses patronnesses de papier glacé du jour ne valent pas plus que les Fière* et les Hersent** du roman. Elles n’ont pas de leçons de vertu à donner mais à en recevoir .
.*Fière = épouse du Roi Noble Le Lion
**Hersent épouse d’Ysengrin le Loup
Pas d’illusion cette protestation n’a aucune chance d’interrompre le cour des flots de repentance à la mode avec leurs relents d’eaux bénites. Reconnaissons qu’il est difficile de distinguer dans ces remugles nauséabonds les fumets de soutane rancie des effluves de turbans .
Lectures :5390
Quand on accepte de se perdre quelques heures sur Gallica
On trouve
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Cependant, les bestiaires sont aussi des fables qui formulent une critique satirique de la société en mettant en scène des animaux ayant le comportement d’êtres humains.- Le Roman de Renart parodie avec humour la chanson de geste puisqu’il raconte comment un goupil met aux point différentes ruses pour obtenir des autres animaux ce qu’il désire.
- Sous couvert d’un ton satirique, le Roman de Fauvel dénonce le règne de Philippe le Bel, en racontant l’histoire d’un âne devenu roi qui passe de l’étable à la demeure des princes. En témoigne cette très belle représentation de Fauvel couronné en majesté dans ce manuscrit français conservé à la BnF.
Par le truchement des animaux, Gervais du Bus tout comme les auteurs du Roman de Renart dénoncent la société aristocratique médiévale où règne la corruption ; propos qui renvoie implicitement à l’œuvre de Boèce, De Consolatio philosophae, où ce dernier comparait les hommes – qui se sont détournés de leur « nature raisonnable » – à des animaux.
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https://gallica.bnf.fr/blog/06062019/les-bestiaires-medievaux?mode=desktop
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Roman de Fauvel, Gervais du Bus et Raoul Chaillou de Pesstain, XIVe siècle, Français 146, fol. 1.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b52505725s/f1.item.planchecontact
Titre :
Roman de Renart .
Date d’édition :
1301-1350
Type :
manuscrit
Langue :
français
Format :
France (Nord, Nord-Est). – Ecriture gothique, encre noire, 2 colonnes de 32 lignes. – 513 vignettes de très petites dimensions (2,5 à 3 cm de haut pour 7 cm de large), exécutées dans un style naïf sur fond doré. Miniatures aux feuillets 1 (2 miniatures), 1v, 2, 3, 4, 4v, 5, 5v, 6 (2 miniatures),…
Description :
Ms. I de l’édition de M. Ernest Martin (voir t. I, p. XIII-XIV, et Supplément, p. 5-6). Le manuscrit présente une version abrégée des épisodes suivants : ff. 1a – 14c. Jugement de Renart – Branche I de l’édition de Martin ff. 14c – 19d. Siège de Maupertuis – Branche Ia de l’édition de Martin ff….
Description :
Le manuscrit est passé successivement par les bibliothèques de Sedan puis du duc de La Vallière . Le manuscrit a-t-il été réalisé pour Guy de Roye (v. 1345-1409), bibliophile notoire, qui fut archevêque de Tours, Sens et Reims ? Au verso du dernier feuillet du manuscrit (f. 157v) figurent les…
Description :
Lieu de copie : France (Nord, Nord-Est)
Droits :
domaine public
Identifiant :
ark:/12148/btv1b52505725s
Source :
Bibliothèque nationale de France. Département des manuscrits. Français 12584
Notice du catalogue :
http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ark:/12148/cc13613m
Provenance :
Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne :
21/09/2015
Bonjour Furtif et merci pour ce regard. Il est vrai que le moyen-âge n’a pas été aussi « noir » et « archaïque » que beaucoup de régimes ultérieurs n’ont cessé de le prétendre. Une déviation de l’anglais « dark ages » mâtiné de nord américain où l’histoire de l’Humanité commence avec la constitution des Etats Unis. Dans de nombreux domaines, la liberté était plus aboutie, le droit des femmes régresse à la renaissance. Le pudibonderie provient en partie de la religiosité bourgeoise et hypocrite du XIXème.
Néanmoins je m’interroge, que penseraient dans le futur les archéologues nous étudiant s’ils tombaient sur du PNL ou autre rap?
Il faudrait beaucoup d’autres informations pour se faire une idée de l’état de la société actuelle et des liberté d’expression. Finalement, le roman de Renart est-il une exception ou une règle? Toléré, mondain chic, œuvre de révolte ou courtisane? quel rapport avec la société d’alors? pour moi la question reste ouverte.
Réponse à Lapa
La question reste ouverte mais non sans réponse ( s) .
Peu de gens savent que c’est aussi sous la pression d’une intelligentsia ( mélange de Notaires avocats et petits marquis ) toujours janséniste masquée par le gallicanisme que Louis XVI sachant répondre à une demande fit torturer et mourir le Chevalier de La Barre …Un Griveaux de l’époque…
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Qu’y avait-il de plus puritain que Robespierre? et son être suprême….de plus faussement athée que les francs maçons….
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Qu’y a-t-il eu de plus convenu et grenouille de sacristie que le IIè Empire et de noceur baiseur dans tous les coins …
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Mais ce la se sait encore …
La plus grande entreprise de camouflage fut celle entreprise au sujet de la dite Renaissance.
Il faut lire le pesant( OEUVRE AU NOIR de Yourcenar) .pour y voir un peu plus clair.
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Il faut savoir aussi que Lourdes tombait en désuétude au lendemain de la IIè WW que certains petits malins auraient bien pris la place presque vacante ( l’île Bouchard)
Mais ça je vous en ai parlé ….
Juste un petit coup d’oeil sur ce qui est encore disponible …
Regarde les résultats électoraux dans ce nord de Vienne depuis 50 ans…
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On peut sans perdre son temps lire l’article du très brillant blog
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https://savoirsdhistoire.wordpress.com/2019/12/15/les-convulsionnaires-de-saint-medard/
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Sur les dérives inouïes de la société au XVIIIè siècle…
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En y repensant il y a autre chose à faire que de lire l’Oeuvre au Noir….
Hello!
En architecture médiévale, on trouve l’équivalent dans les scènes coquines des bas-reliefs parfois accessibles au regard comme sur le porche de la cathédrale de Rouen dans la cour des libraires, parfois perchés à plusieurs mètres au-dessus du sol dans les modillons, gargouilles et chapiteaux des colonnes.