Lorsque le Conseil Français du Culte Musulman nous enfume (Sami Aldeeb)

Je vous mets au complet l’article d’un blog très intéressant qui mérite le détour. Comme son auteur encourage la publication sur nos blogs et plate formes, j’ai pensé que cela pouvait intéresser les lecteurs de Disons.

Vous trouverez le lien ici avec les liens vers les sources qui ont été enlevés, je me suis contenté de mettre en forme:

http://www.blog.sami-aldeeb.com/2016/08/01/sami-aldeeb-lorsque-le-conseil-francais-du-culte-musulman-nous-enfume/

 

COMMUNIQUE DU CFCM

Communiqué de Presse
Suite à l’attaque dont a été l’objet l’Eglise de Saint-Etienne-du-Rouvray pendant laquelle un Prêtre a été lâchement assassiné alors qu’il célébrait la Messe, le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) appelle l’ensemble des Mosquées de France à saisir l’occasion du Prêche de la Prière du Vendredi prochain, 29 Juillet, pour évoquer la place prépondérante qu’occupe dans la religion musulmane le respect des autres religions et ainsi que le respect des hommes de foi qui les portent.
A ce titre, le CFCM rappelle que le Prophète (Paix et Salut sur lui) disait dans un Hadith: «Celui qui fait du mal injustement à un juif ou à un chrétien me trouvera en adversaire le jour du jugement dernier.» (rapporté par Mouslim).
Le CFCM invite également les Responsables de Mosquées, les Imams et les fidèles à rendre visite aux Eglises qui leurs sont proches, notamment à l’occasion de la Messe du Dimanche matin, pour exprimer à nouveau à nos frères Chrétiens la solidarité et la compassion des Musulmans de France au lendemain de cette nouvelle tragédie qui a frappé notre Pays en s’attaquant à un lieu de culte et à des religieux.
Fait à Paris, le Jeudi 28 Juillet 2016
Le Bureau du CFCM

 

Vérification du récit cité

Ce communiqué cite un récit de Mahomet qui aurait dit: Celui qui fait du mal injustement à un juif ou à un chrétien me trouvera en adversaire le jour du jugement dernier.

Le communiqué en question ne nous donne pas la version arabe de ce récit, et se satisfait d’indiquer qu’il est rapporté par Mouslim. Ce Mouslim est l’auteur de l’un des six plus grands recueils de récits admis par les musulmans sunnites qui le considèrent comme le deuxième recueil le plus authentique après celui d’Al-Bukhari.

Aucun organe de presse français ne s’est donné la peine de vérifier ce récit ou son sens. Tous ceux qui ont fait écho à ce communiqué ont pris son contenu pour argent comptant. Or, si l’on cherche ce récit dans le recueil de Mouslim, on n’en trouve aucune trace. En revanche, on trouve dans des recueils de moindre importance des récits que certains considèrent comme faibles (da’if), voire sans fondement (la asl lah):

من آذى ذميا فأنا خصمه و من كنت خصمه خصمته يوم القيامة

Celui qui lèse un dhimmi, je suis son adversaire, et celui dont je suis l’adversaire je le vaincrai le jour du jugement dernier.

من ظلم ذميا مؤديا الجزية مقرا بذلته ، فأنا خصمه يوم القيامة

Celui qui opprime un dhimmi qui paie le tribut (jiyza) et reconnaît sa servilité je serai son adversaire le jour du jugement dernier.

من ظلم معاهدا مقرا بذمته موديا لجزيته كنت خصمه يوم القيامة source

Celui qui opprime un bénéficiaire d’un pacte qui reconnaît sa dhimmitude et paie son tribut (jiyza), je serai son adversaire le jour du jugement dernier.

Ce que nous dissimule le CFCM

Il est évident que la source du CFCM est fausse, à moins qu’il nous prouve le contraire en nous citant en langue arabe le texte du récit auquel il se réfère, et en nous donnant une référence précise, si possible avec un lien Internet, pour que tout le monde puisse le vérifier. En effet, l’écrasante majorité des recueils des récits de Mahomet se trouvent sur Internet, et une grande partie de ces recueils, notamment ceux d’Al-Bukhari et de Mouslim, sont disponibles aussi en français et en anglais.

Mais le plus grave est que le CFCM recourt ici à la dissimulation, en cachant le fait que le récit en question, quelle que soit sa source et sa formulation, concerne les dhimmis qui paient le tribut (jiyza) institué par le Coran dans le verset H-113/9:29:

Selon notre traduction:

Combattez ceux qui ne croient ni en Dieu ni au jour dernier, qui n’interdisent pas ce que Dieu et son envoyé ont interdit, et ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux auxquels le livre fut donné, jusqu’à ce qu’ils donnent le tribut (jizya) par une main, et en état de mépris (wa hum saghirun).

Selon la traduction saoudienne

Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation (jizya) par leurs propres mains, en état d’humiliation (wa hum saghirun).

Nous avons consacré un ouvrage à ce verset:

Le tribut (jizya) dans l’islam: Interprétation du verset coranique 113/9:29 relatif au tribut (jizya) à travers les siècles, 2016, 204 pages : Amazon

Cet ouvrage est complété par notre ouvrage:

Le jihad dans l’islam: Interprétation des versets coraniques relatifs au jihad à travers les siècles, 2016, 254 pages : Amazon

Dans ces deux ouvrages, nous avons produit et traduit sommairement ou à la lettre les textes arabes de 68 exégèses anciens et modernes, précédés d’une longue présentation en français du contenu de ces exégèse et des textes arabes modernes. Il en ressort, sans contestation possible, que l’islam doit mener une guerre totale contre tous afin de dominer le monde, dès qu’il en a les moyens. Mais en situation de faiblesse, les musulmans doivent recourir à la dissimulation (taqiyya) en feignant l’amitié avec les mécréants, comme le dit le verset: «Que les croyants ne prennent pas les mécréants pour alliés hors des croyants. Quiconque fait cela n’a rien de Dieu, à moins que vous ne les craigniez» (H-89/3:28).

La guerre contre les non-musulmans ne peut cesser contre les gens du livre (surtout les juifs et les chrétiens) que s’ils acceptent de se convertir à l’islam ou de payer le tribut en état d’humiliation, devant ainsi des dhimmis. S’ils refusent ces deux choix, les musulmans doivent les tuer, les asservir, distribuer leurs femmes comme captives de guerre aux combattants musulmans, et s’emparer de leurs biens, comme le fait aujourd’hui l’État islamique en Irak et en Syrie, et comme l’enseignent les écoles et les facultés de l’Azhar.

Quant aux autres groupes dont les musulmans n’acceptent pas le tribut (jizya), ils n’ont le choix qu’entre la conversion à l’islam ou la guerre. S’ils refusent de se convertir à l’islam, les musulmans doivent les tuer, les asservir, distribuer leurs femmes comme captives de guerre aux combattants musulmans, et s’emparer de leurs biens. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les musulmans ont massacré environ 80 millions d’hindous qui ne font pas partie du groupes des gens du livre. Ce qui constitue le plus grand génocide de l’histoire. Et c’est la raison pour laquelle les Yézidis en Irak ont été massacrés et leurs femmes vendues au marché comme du bétail… versets coraniques et récits de Mahomet à l’appui.

Ceux intéressés par la dissimulation dans l’islam, nous les renvoyons à notre ouvrage:

Alliance, désaveu et dissimulation : Interprétation des versets coraniques 3:28-29 à travers les siècles, 2015, 245 pages: Amazon

Conclusion: le mensonge n’a pas de pieds

On peut comprendre que le Conseil Français du Culte Musulman cherche à nous enfumer après les attentats meurtriers commis par des musulmans en France et ailleurs, notamment l’égorgement du Père Jacques Hamel qui avait accordé à la communauté musulmane un terrain pour construire une mosquée (devenue niche d’intégristes). Ces attentats ont été revendiqués et dûment justifiés par Daesh sur la base du Coran et des récits de Mahomet.

Mais, comme le dit le proverbe égyptien, le mensonge n’a pas de pieds. Ce qui signifie qu’avec le mensonge on ne va pas très loin. Si vraiment le CFCM est sincère et honnête, il doit faire un examen de conscience et confesser publiquement devant tous les Français, et avant tout les musulmans, que ce qui se passe aujourd’hui a pour origine le Coran et les récits de Mahomet, et que la seule manière d’y mettre fin est de remettre en question de façon radicale et sans état d’âme les enseignements de leur religion basés sur le Coran et les récits de Mahomet. Pour commencer, le CFCM doit éditer le Coran par ordre chronologique et rejeter la partie toxique du Coran révélée à Médine pour ne garder que le Coran mecquois, comme l’avait proposé le regretté Mahmoud Muhammad Taha, le penseur soudanais pendu sur instigation de l’Azhar en 1985.

Parions que le CFCM n’osera jamais mettre en question le Coran et les récits de Mahomet … et préparons-nous, donc, à de nouveaux attentats… et à de nouveaux mensonges et enfumages de la part du CFCM et des dirigeants français qui manquent de courage et de sérieux.

Il est minuit moins cinq… Bonne nuit… Dors bien douce France.

Dr Sami Aldeeb
Directeur du Centre de droit arabe et musulman www.sami-aldeeb.com
Auteur d’une édition arabe et d’une traduction française du Coran par ordre chronologique http://goo.gl/v1Qpnb

Je vous prie de publier ce texte dans vos sites, blogs et autres réseaux sociaux.

Lectures :7266
12 Commentaires
Inline Feedbacks
View all comments
D. Furtif
Administrateur
D. Furtif
9 août 2016 21 h 14 min

Hors les soumis à Allah et hors ceux qui sont soumis aux fidèles à Allah ….;On tire dans le tas….
La guerre et les massacres sont autorisés .
Les athées et les indifférents à l’Islam n’ont qu’une seul destin ….
Être tués massacrés, égorgés, explosés, écrasés ;….Tous les trésors d’une prétendue civilisation.

Cosette
Cosette
11 août 2016 11 h 30 min

Ce sont les partisans d’une «laïcité ouverte» à la Jospin que j’ai entendu me dire en 1989: «Et que voulez-vous que ça me fasse que la France s’islamise?». Cette idéologie dominante est responsable, coupable de l’état des lieux. Adepte du «il est interdit d’interdire», c’est elle qui a porté les coups les plus durs à la laïcité. Avec une parfaite bonne conscience. Elisabeth Schemla
Laïcité : « Les maires financent déjà des mosquées et des écoles coraniques » Publié le 04/08/2016 Le Figaro

(Des maires Ps, Ump, Udi, Verts… ont collaboré et ont financé l’islamisme)

Le fantasme politico-médiatique d’un « islam de France » à bâtir par l’action politique

Cosette
Cosette
11 août 2016 12 h 00 min
Reply to  Cosette

Cela fait maintenant près de dix ans que je ne suis plus musulman. J’ai cessé d’avoir foi en l’islam après avoir sérieusement étudié le puits sans fond que semblent être les textes sacrés du Coran et des hadîts Sahih.
Majid Oukacha

Interview

Cosette
Cosette
17 août 2016 13 h 05 min

La visite estivale de Nicolas Sarkozy au roi d’Arabie saoudite
(marianne.net/visite-estivale-nicolas-sarkozy-au-roi-arabie-saoudite 10 Août 2016)

Au Maroc. Cela devait rester une rencontre discrète… et donc secrète. Une simple visite de courtoisie entre deux voisins de villégiature.
Pour Nicolas Sarkozy, il s’agissait de réchauffer ses liens avec le pouvoir saoudien

Au cours de l’entretien, Nicolas Sarkozy a donc fait son grand numéro de séduction, expliquant qu’il tenait beaucoup à « l’amitié France Arabie-saoudite » pour le futur de la région moyen-orientale, et assurant qu’il soutenait les positions de l’Arabie saoudite sur le dossier syrien.

Face à son interlocuteur saoudien, il ne s’est pas contenté d’évoquer des sujets régionaux : il a également réaffirmé son intérêt pour l’islam de France, et le fait qu’il avait mis en place le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) du temps où il était ministre de l’Intérieur.

Lire ou relire Le Wahhabisme une impasse historique

Cosette
Cosette
21 août 2016 10 h 45 min

Voici l’article du canard enchaîné du 17.08.2016 Des islamistes qui avancent mosquée Le CCIF. Mais de qui parle-t-on ? L’association se présente comme ayant vocation à combattre le racisme antimusulman. En réalité le CCIF s’est spécialisé dans la rédaction de « rapports » instruisant le procès de la laïcité à la française devant les instances internationales, comme l’ONU et la Commission européenne. Le 8 juillet, la ministre des Familles, Laurence Rossignol, a été sommée de répondre devant les instances de l’ONU à Genève, aux accusations développées tout au long des 44 pages du rapport relatif à la période 2014-2015 « Etre musulmane aujourd’hui en France: les femmes premières victimes de l’islamophobie ». En France, l’islamophobie, une forme de racisme et de sexisme, est largement institutionnelle. En effet, l’Etat français et ses institutions sont responsables de 70% des actes islamophobes recensés affirme le CCIF. Recensés par qui ? Par le CCIF pardi ! Il faut dire que les accusations brillent par leur légèreté : « L’islam et les musulmans sont criminalisés » à travers l’interdiction du voile à l’école et l’« obsession du voile dans l’espace public ». Sont aussi dénoncés l’« acharnement de l’institution scolaire sur les femmes musulmanes, avec l’aval de l’Etat français, la discrimination des mères d’élèves musulmanes dans l’accès à la citoyenneté, à la santé, aux loisirs, au logement, aux biens et services ». Les rédacteurs de rapport appellent donc à l’abrogation des lois 2004 et 2010 sur le port du foulard à l’école et l’interdiction du voile intégral dans l’espace public. Amis des femmes Le CCIF a, par le passé, défendu des imams expulsés pour radicalisme. Son actuel directeur, Marwan Muhammad, un statisticien propre sur lui, a utilisé son poste de rédacteur à l’OSCE (organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) pour y faire du lobbying pro-islamiste, ce qui lui a valu des remontrances et a conduit à sa démission. Muhammad intervient par ailleurs régulièrement en Grande-Bretagne sur ce thème de l’islamophobie à la française, aussi bien dans les médias que dans les mosquées d’East London. En France, le président du CCIF n’hésite pas à se produire en public pour défendre ses thèses en compagnie d’orateurs qu’il apprécie. Parmi ces derniers, Hassan Bounamcha, imam radical d’Aubervilliers, Nader Abou Anas, prédicateur de la mosquée d’Aubervilliers, ou encore Rachid Abou Houdeyfa, le célèbre imam de Brest. Ce dernier avait affirmé que « ceux qui aiment la musique seraient transformés en singes et en porcs » ou que « la… Lire la suite »

Cosette
Cosette
21 août 2016 11 h 00 min
Reply to  Cosette

Dans son livre L’Islam, épreuve française, Élisabeth Schemla rappelle la déclaration que fit Marwan Muhammad en août 2011, à la mosquée d’Orly :
« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. »

Autres déclarations de Marwan Muhammad:
« La France est un état laïc, les citoyens n’ont pas à l’être. Chacun choisit pour lui-même sa religion et choisit les modes de manifestation de sa religion. »
« La citoyenneté et la religion sont des réalités qui se posent dans des espaces différents. La citoyenneté est un fait juridique, la religion est un fait spirituel, social, parfois culturel. »

D. Furtif
Administrateur
D. Furtif
21 août 2016 13 h 29 min
Reply to  Cosette

En fait tout ceux qui se revendiquent de l’Islam ne peuvent supporter l’armistice de 1905 .
Ils trouvent la paix religieuse insupportable.
Ils veulent la guerre….

Cosette
Cosette
26 août 2016 12 h 08 min

Non Monsieur Plenel, le burkini n’est pas un vêtement comme un autre

Vous dites que le burkini est un vêtement comme un autre alors que le terme lui-même est un carcan pour les femmes puisqu’il veut dire un mélange entre la burqa (voile total) et le bikini, vêtement de plage. Il ressemble à s’y méprendre à une combinaison de plongée sous-marine avec en plus une capuche qui couvre la tête. Imaginez ce qu’éprouve une femme ainsi couverte, sous le soleil!

Quand, Monsieur Plenel, vous comparez le burkini à la soutane en parlant de la sacro-sainte liberté individuelle, vous oubliez une chose importante c’est que la soutane est un habit porté par des personnes qui font de la religion une profession et qui bien entendu ne doivent aucunement être discriminées même lors de la séparation de l’Église et de l’Etat.

A l’opposé, le burkini n’est pas un vêtement professionnel mais une suite logique du voile et de la burqa. C’est un carcan sophistiqué dans lequel on enferme les femmes …

Non Monsieur Plenel, le burkini n’est pas un vêtement comme un autre. Il fait partie d’une stratégie qui, si elle est encouragée par des avis permissifs, finira par arriver à son but final: interdire l’espace public aux femmes!

http://www.huffpostmaghreb.com/fatiha-daoudi/non-monsieur-plenel-le-burkini-nest-pas-un-vetement-comme-un-autre_b_11581122.html

CAROLINE
CAROLINE
7 septembre 2016 21 h 03 min

MERCI DE NOUS ECLAIRER
NOUS AVONS ETE TELLEMENT BIEN EDUQUES A ETRE DE BONS PACIFISTES ET AUSSI DES BIENS PENSANTS QUE NOUS SOMMES A PEINE REFORMABLES. NOUS SOMMES DEVENUS DES GENS INCONSISTANTS JUSTE CAPABLES DE COURIR APRES DES POKEMONS. NOUS SOMMES DE PLUS EN PLUS CONSUMERISTES ET JOUISSEURS. ALORS COMMENT DEMANDER A UNE POPULATION ANESTHESIEE PAR SON MODE DE VIE OU MODE DE CONSOMMATION DE SE REVEILLER. LA DOUCE DROGUE CONSUMMERISTE EST TELLEMENT PLUS AGREABLE. BIEN SUR QUE LE SALAFISME EST UNE REELLE MENACE. MAIS LA PLUS GRANDE MENACE C’EST NOTRE ANESTHESIE COLLECTIVE.NOTRE VIGILANCE EST AU PLUS BAS. LA VIGILANCE ISLAMISTE EST AU PLUS HAUT ET OBSERVE LENTEMENT COMMENT PARVENIR A NOUS DENATURER, A NOUS ANEANTIR.

UN JOUR JE L’ESPERE, NOUS ARRIVERONS PEUT-ETRE A CREER DE GROUPE DE REFLEXION ET DE VIGILANCE POUR TROUVER DES SOLUTIONS FACE A CE QUI NOUS MENACE. COMMENT SE NOMMERONT CES GROUPES? JE NE SAIS PAS. MAIS SANS FAIRE DE DISCOURS D’EXTREME DROITE QUE JE DETESTE, IL EST TEMPS DE MONTRER QUE NOUS NE SOMMES PAS DES IDIOTS.

D. Furtif
Administrateur
D. Furtif
7 septembre 2016 21 h 40 min

Bonsoir Caroline
.
Pourquoi passer par un proxy?