Conservateurs contre Réformateurs _ Mon œil ! Le procès de BoXilai

Sun Yat Sen
Congrès du PCC

Vous les avez sûrement déjà vus à l’occasion des grandes mascarades de cérémonies officielles , congrès ou anniversaires et commémorations. Tellement vieux et tellement interchangeables dans l’apparence. Ces Zombis au nom de ce qui se prétend la forme la plus haute et la plus aboutie de la démocratie se tiennent soigneusement hors les volontés exprimées par le peuple. Jamais le peuple n’a eu l’occasion de voter librement pour eux. On est en Chine le pays qui ignore que la représentation dépend de l’élection.

Nous le savons tous, les candidats sont désignés d’avance par le pouvoir.

Donc : exit le Peuple

Le fonctionnement du PCC va-t-il , lui, compenser cette absence de démocratie ? Bin, là non plus, tout est aux mains de l’appareil et les promotions, les désaveu, les exils au fin fond des provinces secondaires, les liquidations et les ascensions fulgurantes…tout est aux mains d’une poignée d’hommes

Comité permanent

7 membres

Bureau politique

19 à 25 membres

Comité central

200 membres

Les 80 millions de membres sont convoqués pour suivre le spectacle et acclamer quand on leur demande.

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Chaque jour la situation économique mondiale impose aux dirigeants chinois de s’adapter . Les capitaux étrangers s’investissant en Chine ne sont en rien manipulés par des philanthropes bénévoles. Ces derniers peuvent à chaque instant les retirer pour aller les placer ailleurs. Le retour à des conditions de misère et de chômage généralisé qu’ils n’hésitent pas à imposer à leurs propres peuples donnent une indication précise de ce qu’ils n’hésiteraient pas à provoquer en Chine.

À chaque instant des négociations de la plus grande brutalité se tiennent entre les investisseurs « apatrides » et les dirigeants chinois.

Chacun dans son fief essaie de tirer le meilleur parti de cette situation

Attirer les capitaux qui assureront la prospérité de la province dont il est le chef passe bien sûr par la concurrence interne entre les province de l’immense Chine. Quelque soit le talent de négociateur du potentat local,

il est toujours soumis aux manœuvres de ses rivaux de même niveau

il peut aussi être l’objet de manœuvres sournoises d’hommes placés au dessus de lui et qui ont choisi de favoriser une autre province un autre leader local selon la vieille tradition du clientélisme

Pour gagner il est indispensable de se trouver dans la « bonne écurie » .

Très souvent tout se dessine et se décide au niveau des 9 Dieux.

Gagner un placement, gagner un installation d’usine , gagner un contrat conséquent signifie donc s’être battu très brutalement dans la négociation contre l’investisseur , qui lui, ne se privera pas de faire jouer toutes les connections dont il peut disposer

  • concurrents rivaux du même niveau hiérarchique
  • Gros bonnets de Beijing .
  • Un traitre au sein de sa clientèle locale

Une fois la question réglée vous n’êtes pas sorti d’affaires. Il va falloir faire produire à des conditions de coûts qui soient compatibles avec le prix fixé mais aussi avec les conditions de salaires que vous n’aurez pas laissé « dangereusement dériver » avec les travailleurs locaux.

Et là pas de miracle.

Soit vous aurez réussi à vous faire apprécier par votre province et vous avez encore un moment pour éviter les grèves et les manifestations, soit  vous appliquerez les bonnes vieilles méthodes de la matraque , du flicage et de la délation. Vous aurez su jouer de la détention préventive , du chantage, et de l’intimidation. Tout ce qui constitue les règles universelles de production du capital depuis plus de deux siècles. La modernité en quelque sorte .

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Cette description n’a rien d’un cas rencontré par expérience mais elle a valeur de règle générale à tous les niveaux de la hiérarchie géographique de la Chine. Localité , district, province , État : corruption à tous les étages. La violence des enjeux grimpe en proportion de l’échelle des niveaux de décision. La Chine est un concentré d’affrontements qui prend des proportions gigantesques plus on est haut dans l’appareil. On ne discute pas sur la question de la meilleure méthode pour assurer le progrès social et économique mais on passe sa vie à se méfier , à se masquer et prévoir tous les moyens d’élimination de ceux qui se trouveront un jour sur votre route. Pour ça il vous faut des soutiens ce qui ne vous dispense pas de veiller au grain et de vous prémunir contre le risque permanent de la trahison d’un subordonné ou d’un ami de 30 ans…

À ce point de la description , il ne faut pas oublier que les investisseurs étrangers ne sont pas forcément des empotés et que leurs États sont là pour les aider de tous leurs moyens officiels et voire officieux. Pour le cas Bo Xilai , un Britannique y laissera la vie.Nous dirons que ce cas là a été très médiatisé.

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Au niveau le plus élevé du pouvoir central chinois le débat concentre toute la violence diffuse en parcelles d’affrontements particuliers au niveau national

Imaginons la prise de parole de l’un de ces personnages de la direction du comité permanent.

La situation est grave et pour faire passer la potion amère de notre politique , les salaires de misère, le manque de protection sociale, la répression policière des manifestations il nous faut un grand spectacle . Ce qui compte : c’est qu’on détourne suffisamment l’attention : qu’on arrive à faire croire qu’on est très fâché ( déçu ,blessé) et que l’accusé a commis des crimes inqualifiables . Quoi! un corrompu? Quoi! on m’aurait menti? Je suis blessé….. Comme d’habitude un procès à grand spectacle : c’est le meilleur moyen pour faire passer la vraie politique des coups bas portés au peuple en détournant l’attention du public sur les infamies supposées du coupable.( voire réelles on s’en fout)

D’ailleurs, nous sommes bien d’accord, selon notre grande et vénérable tradition l’accusé sera le premier à reconnaître ses crimes.( ricanements de connivence de l’auditoire__ la nostalgie des grands moments que seuls les anciens ont pu vivre avant de rejouer les mêmes scènes sous la houlette du grand timonier )

Il ne faut pas hésiter à charger la mule , non seulement l’accusé va se couvrir lui même de boue et comme d’habitude  on n’hésitera pas à faire venir ses proches pour mêler leur voix à celle du procureur.

Tout le monde est bien d’accord.

Pas un n’est autorisé à se la jouer perso. C’est tous ensemble que nous devons déclarer indispensable les mesures qui vont être imposée à tous et que tous ensemble nous allons présenter comme des remèdes indispensables.Vous connaissez la musique : l’intérêt supérieur de la nation, il faut se serrer tous ensemble la ceinture dans un effort collectif. N’hésitez pas faites donner les violons et les intonations graves.

C’est bien compris ?

Alors comme vous m’avez compris, vous comprendrez que celui qui qui s’obstine à la jouer perso leader bien aimé du peuple , qui offre des bourses aux étudiants qui défend les grévistes etc… Le Prince de Chongqing doit rentrer dans le rang . Il sera démis de ses fonctions . Il se voit déjà , dit-on, au bureau politique. Eh bien il va se retrouver en taule et nous lui ferons un procès à grand spectacle . Il rendra service au parti en effrayant tous les imitateurs qui se multiplient et que les rapports nous ont déjà dénoncés.

Qui est Bo Xilai

D’où vient-il ?

Que lui reproche-t-on ?

La famille de Bo Xilai

Le seul examen de la liste des Huit Immortels et de leur descendance montre à quel point les conflits internes , les jalousies et les rivalités suffisent à expliquer le caractère implacable des règlement de comptes.

Au Liaoning en bon petit exécutant pas trop regardant il se distingue par la mise en œuvre sans état d’âme de la Politique décidée à Beijing.Ça s’appelle : la Réforme et l’Ouverture, en pratique c’est la fermeture des usine s d’État et les privilèges offerts aux investissements capitalistes étrangers qui affluent toujours plus massivement . Mais si mais si , ces capitaux vous les connaissez ce sont ceux qui manquent chez nous , qui ont fait de l’arrivée à Londres par le TGV un Rust Belt ; qui ont fait du Nord et de La Lorraine un désert industriel. Tous ceux que Saint Delors et ses apôtres ont libérés.

Le mot d’ordre est alors «  Investisseurs étrangers vous pouvez tout acheter, sauf les mines » C’est en cette période de casse frénétique que le ( plus tard) très populaire Bo Xilai envoya en prison les délégués élus des ouvriers des usines de Ferro-Alliages de Liaoyang, les grèves et les manifestations de dizaines de milliers d’ouvriers de mars 2002 n’y purent rien . Arrestations , matraquages, recrutement de briseurs de grève , intimidation , chantage , accident dans la rue …..Notre futur réformateur a gravi les premiers échelons en se faisant remarquer comme un partisan zélé de la matraque.Un exécutant soumis et fidèle notre futur golden boy.

Il franchit peu à peu les échelons .

Changement de décor changement de costume

Pour continuer son ascension cet homme habile adopte un nouveau profil , et offre une nouvelle facette de son personnage de composition. Il abandonne sa défroque de « chat réaliste façon Deng» pour revêtir les habits rouges leader populaire . L’enjeu est ce qu il considère comme le meilleur tremplin qui soit : Chongqing ( 30 millions d’habitants l’accroissement le plus rapide de toute la Chine en 2011)

Devenir populaire ? Facile .

Il suffit de mettre la pédale douce en matière de répression et de le faire savoir.

En 2009 notre homme interdit les licenciements dans les usines d’état au lieu de les fermer systématiquement comme il en était le spécialiste dans le Nord. Il développe une politique de construction frénétique en forçant les éclairages médiatiques sur ce qui était concédé aux logements sociaux. Mon guide au Printemps 2011 , certainement étroitement contrôlé n’en parlait pas sans tremolo et émotion. Il proclamait en même temps un confucianisme de bon aloi ( quand je n’y peux rien je regarde ailleurs dont je me permis de lui dire tout le bien que je pensais) . J’avais toujours vivant à ma mémoire mon guide Égyptien qui bravant les dangers qu’ils savaient le menacer n’avait pas hésité à me les décrire.

chongqing-city

La construction d’une rampe inclinée de 40 mètre sur 10 avec une seule toute petite bétonneuse et une seule brouette. Hommes et femmes y étaient traité sans aucune discrimination, rien à redire, aussi mal les uns que les autres. Accessoirement je peux vous dire aussi que les presque sourires esquissés par les policiers chinois à la vue de la caravane de touristes qui brinquebalaient leur lourdes valises, sans aucune aide sur 40 mètres d’escaliers vers le fleuve nous promettaient de longs siècles de rappels historiques.

Revenons à Bo Xilai

Sur sa lancée il poursuivit dans le sens d’un polique en faveur des plus humbles . La modernisation et l’urbanisation frénétique de la Chine depuis 30 ans s’appuie sur la main d’œuvre migrante alimentée par un énorme exode rural. Aucune protection , aucun droit pour un salaire dérisoire. BoXilai se fit connaître pour avoir apporté le secours de droits sociaux étendus aux travailleurs migrants ainsi que des facilités aux étudiants. Et chose inouïe, à Chongqing, il s’attaqua à la corruption énergiquement . Comme il était un fin politique il eut l’adresse de ne pas appeler à la mobilisation de la population. Surtout pas . Vous connaissez la méthode , nous l’avons vue employée chez nous . Plutôt perdre les élections que de risquer de l’emporter en s’appuyant sur une mobilisation dont on ne serait pas le maître .

Le succès attirant le succès , Bo Xilai eut le bonheur de voir arriver des soutiens de certains princes( les rejetons de la descendance) . Autour de lui vinrent s’agglomérer les chefs d’entreprises d’état qui voyaient en lui une garantie ( à la chinoise ) de places assurées et de retombées de prébendes. En gros il accumula une clientèle nombreuse, puissante économiquement et influente politiquement.

De sérieux grains de sable vinrent , hélas pour lui, gripper le plan de carrière d’un prétendant au titre dont le destin s’annonçait sans nuage.N’avait-il pas donné des preuves de sa souplesse à tous les camps ?

N’a-t-il pas comme Le Président Xi Jinping et son premier ministre Li Keqiang donné à fond dans la promotion du secteur privé et les facilités offertes au marché.

Oui mais l’ouverture au marché ne signifie pas la promotion automatique de n’importe qui à la tête de ce mouvement. Bo Xilai le sait , s’il le faut il ne lui faudrait que quelques mois pour revenir aux anciennes méthode de répression. Juste le temps de récolter les fruits de ses succès populaires et de les convertir au plan de sa propre promotion au Bureau Politique.

Pas de bol pour lui les échéances qui s’accélèrent et les rivalités imposent des choix. Plus on est haut plus les rivalités sont implacables.

  • Qui n’a pas voulu céder sa place ?
  • Quel rival a été préféré ?

La crise mondiale vient troubler le jeu déjà complexe de la promotion des uns et de la relégation des autres . Les enjeux et les mises deviennent plus élevés, les risques aussi pour les perdants. Et comme la machine du PCC n’est pas très exactement faite pour que les chefs laissent la place aux aspirants, nouveaux Kondukators du plus grand peuple de la terre…

Hélas pour Bo, il est un peu à contre temps. Sa musique person n’est pas celle du Chef. Ça ne rigole plus, les grèves et les manifestations se multiplient , les Ouighours n’en sont pas encore à dérouler leurs tapis de prières dans les rues de Peijing mais gaffe….( voire attentat de novembre 2013)  Pas question de laisser tout ça partir dans tous les sens . On serre les boulons , on soigne le look d’une direction plus monolithique que jamais . On ne veut pas voir une tête qui dépasse .Il faut frapper un grand coup pour se faire bien comprendre.

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Choisissons un prétexte : la lutte contre la corruption ça aidera comme un sucre à faire passer le médicament .Une seule politique , une seule voix , une seule ….La dictature ne sait trouver qu’une solution à la solution de ses problèmes : encore plus de dictature. Alors, la progression du pouvoir d’achat, la couverture sociale pour les plus humbles , les droits sociaux….Stop , on a fini de rigoler.

C’est un fait , le procès, dans son acte d’accusation, a vocation d’escamoter toutes les accusations qui auraient pu exacerber les divisions au sein du Parti communiste chinois (PCC),

ou bien impliquer d’autres cadres,

ou le Parti lui-même qui n’a pas fait grand chose contre les graves violations des droits de la personne perpétrées par Bo Xilai au Lyoaning

On ne s’attarde pas trop non plus sur la responsabilité de ceux qui l’avaient porté si haut et ceux qui l’ont soutenu longtemps, …peut-être trop longtemps.

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Alors Bo Xilai ?

Pas difficile de lui trouver des poux dans sa « seule » tonsure.

Étant donné qu’il fonctionne comme tous les autres , il a été facile de trouver. Moins facile fut de ne pas mouiller trop de monde .

Mais on y est arrivé .Le « système Bo Xilai » a été démantelé….Puisqu’on vous le dit!

Un détail pourtant, il apparaît qu’il est : un chef de clan avec son réseau de fidèles, ses bailleurs de fonds auxquels il distribue les faveurs, des hommes de mains, des maîtresses, et un style de vie peu compatible avec le « revival rouge » au look mao branché qu’il avait impulsé pour utiliser la légitimité maoïste à son profit.

Pas grand chose de neuf dans tout ça. On a besoin de beaucoup plus de barouf  pour le procès. Ça va pas le faire.

On pourrait pas trouver un ou deux trucs en plus ? Il ne faut pas oublier que ce procès, auquel on se risque dans la douleur , est là pour effrayer, terroriser et interdire toute velléité de copier l’aventure de Bo Xilai , lui et ses façons de se transformer en leader populaire. La direction doit être collective et n’offrir aucune faille à la critique.

Pas de petit malin qui chercherait à se tailler un succès personnel.

On le sait : le succès des uns ne peut être construit qu’au détriment voire au péril des autres.

Gukailai-
Bo-Guagua le fils

Oui mais , un petit assassinat privé , ça ne nous mène pas loin. On peut bien sortir son train de vie mais….On a bien aussi le mode de vie pharaonique du fils , soit disant menacé, et plus encore du tonton . Tout ça bien ficelé,  peut, à la rigueur, enfoncer le père mais ça nous offre aussi plus que des indications « très très très »  sensibles sur ce que représentent les enjeux de pouvoir au sein de la bureaucratie chinoise.

Alors d’où vient ce sentiment que tout ce ramdam de procès n’est qu’une parodie __ ça on le savait on n’est pas surpris __ mais aussi un semblant de procès bâclé à la va vite parce que ça urge et que des décisions capitales vont être prises au congrès en cette troisième semaine de Novembre ( 46)

Comme on ne contrôle plus vraiment ce fichu procès on ajoute des trucs et des machins. Le propre chef de la sécurité de Bo Xilai serait allé se réfugier au Consulat américain…oui et alors…oh rien c’est juste pour ajouter un détail dans le décor de la Sit Com . Ce coté burlesque Ça amuse qui? À part les vieux Staliniens pur jus qui éclataient de rire quand les accusés des procès de Moscou fondaient en larmes.

Comment vous dire, comment vous faire comprendre ? Pour cela il faudrait la plume d’un journaliste citoyen.

Que vient faire un certain Neil Percival Heywood dans cette histoire ? Ami, amant, homme d’affaires ?Comment et pourquoi était-il devenu si proche d’un hiérarque Chinois de ce niveau. Est-il seul de son espèce ?  Qui sont les autres et qui sont les autres Putiphar Chinois ?

Tout ça va nous donner un procès bâclé en quelques jours sans trop multiplier les témoins ni enquête superflue. Il y a surtout cet os absolument imprévu que rien dans la culture juridique et polituqe du président du tribunal n’a préparé le pauvre homme.

L’accusé nie

L’accusé ne s’effondre pas

L’accusé refuse d’avouer quoique ce soit. Aucun respect des traditions. L’homme ne s’effondre pas.Comme s’il avait la conviction que sa vie n’était pas en danger ou….ce qui ne serait pas impossible …Comme si sa mort éventuelle ne l’effrayait en rien. Il léguerait ainsi au peuple chinois, bon gré mal gré , une sorte de sérénité courageuse qui pourrait faire bien plus de dégâts que bien des cris et bien des menaces.

En guise de conclusion

Wikipedia nous apprend

Ai Weiwei, artiste et constestataire chinois, considère que le procès de Bo Xilai a pour vocation de distraire le peuple chinois. La véritable problématique concerne la légitimité du Parti communiste chinois. Ce dernier, s’il veut continuer à gouverner devra s’appuyer sur la « Constitution et un Etat de droit véritable »34.

L’historien et réformateur Zhang Lifan (en) considère que le procès fait partie d’une stratégie politique permettant de renforcer l’autorité de l’équipe au pouvoir, mais avec le risque de raviver des conflits au sein du Parti communiste. Depuis la fin du procès de Bo, de nouvelles procédures ont été engagées en particulier contre le « groupe des pétroliers » dont Jiang Jiemin un proche de Zhou Yongkang lui même inquiété et ancien allié de Bo

On consultera l’article précédent

Le Casse Tête chinois

Pauvre Henan

Dockers chinois, on reprend l’histoire

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Léon
Léon
28 novembre 2013 13 h 38 min

Depuis le temps que Furtif nous écrit des articles sur la Chine, il va devenir un vrai spécialisse ! On aura appris l’existence de ce mec et ce qui lui est arrivé. On s’instruit vachement sur Disons. Gaffe, après y a interro !